Cérémonie d'ouverture des JO 2024

J'ai regardé. J'avais quelques pitons à visser sur trois toiles, j'en ai profité pour "m'instruire" d'un oeil et d'une oreille de ce qu'allait être l'évènement. 

Il y avait deux trois séquences convenables mais, un passage de bateaux à mourir d'ennui. Quelques très jolies choses aussi telles que l'illumination de la tour Eiffel et la Montgolfière enflammée (dont on se demandait quand même où son atterrissage était prévu) ; un peu d'émotion aussi, notamment avec le passage du machin-flamme à Monsieur Coste. 

Et. Mais : beaucoup beaucoup d'horreurs aussi, de la glorification de la décapitation qu'on reprocherait avec véhémence et raison à tout groupe terroriste et qu'il s'agisse d'une reine de France - avec son procès bricolé - ou quiconque : gardons à l'esprit que la guillotine en ce temps-là a raccourci nombre de gens, compris de très jeunes gens, sans aucune autre raison que d'être passés dans la rue et dans ce siècle désorienté, à un défilé de la mode woke et ses gesticulations dont la seule intention visible était la provocation et l'exposition de la volonté de radiation de la notion de respect que devrait inspirer tout humain tout genre confondu, car ce n'est pas dans ce type de spectacle qu'on se sent invité à donner estime aux différences qui font pourtant l'humain dans sa dimension universelle, bien au contraire. 

Au lieu de mettre l'humain et le sport au centre de l'évènement, ont été portés au pinacle la grossièreté, le goût de la violence et de la mort, le sacre de la vomissure.

Heureusement que Mesdames Saint-Cirel et Dion étaient là, même si ça nous a coûté un pognon de dingue qu'on aurait pu injecter ailleurs, dans l'hôpital par exemple.

Bisous, camarades.

M.H.