Tant pis pour les autres

Quand on évoque des morts (ou des handicaps lourds) à cause des injections expérimentales, il y en a toujours pour répondre que c'est sûrement à cause d'antécédents médicaux. Parlant de morts de personnes jeunes aussi bien (20 ans, 30 ans, 40... etc. ce n'est pas un problème et ne vaut pas interpellation.). Donc, dans leur tête, le simple fait d'imaginer une pathologie antérieure justifierait d'être tué par un produit toxique  injecté... du moment qu'eux accèdent au laissez-passer miraculeux et bienheureux sont-ils d'avoir la vie (pour l'instant) sauve ; tant pis pour les autres. De plus, eux ne connaissent aucune personne victime du produit injecté, disent-ils, c'est leur certitude et donc c'est leur preuve que tout va bien et que les effets secondaires n'existent pas... 

On leur dit que leur imaginaire participe à un tri immonde en le trouvant "normal" ?

Cela leur est normal qu'il y ait du déchet...  soit, la vie fait aussi le tri naturellement - quand on la laisse faire -, en revanche, ces bienheureux acceptent de se troubler quand on leur montre un centenaire qui meure dans la posivité covidienne, parce qu'on leur impose de se troubler ; il faut, dans ce monde, se troubler selon les directives, les émotions n'appartiennent plus à ceux qui les vivent, elles sont cadrées, modales, calibrées, dirigées, orientées, soumises à validation et autorisation. 

On leur dit que ce qu'ils valident, eux, c'est la fin de l'humanité ?

Dites-leur qu'il y a un monde au-delà du bout de leurs godasses.

Marie HURTREL
17/12/2021